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AUGER Yann

Membre Permanent

Directeur(s) de thèse
Sujet de thèse

Formation

https://www.paris-valdeseine.archi.fr/ecole-nationale-superieure-darchitecture-paris-val-de-seine/enseignants/yann-auger.html?modeAffichage=Array&q=auger%20yann&backId=67&cHash=bdeff278b404e9d7444490b5b9d88e41

1- Parcours de formation 2017 –

Mastère spécialisé BIM : ENPC-ESTP (Ecole Nationale des Ponts et Chaussées et l’Ecole Spéciale des Travaux Publics).

1991 - Architecte dplg : 

École d’Architecture de Paris-La Défense. 2- Parcours d’enseignement Depuis 1992 : Champ disciplinaire STA :

Technologies numériques.

École d’Architecture de Paris-La Défense (avant 2003) puis École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Val de Seine.

 3- Autres Exercice libéral depuis 2009 :

Interventions essentiellement sur des bâtiments existants : de la simple extension de maison individuelle à la réhabilitation totale d’un collège, en passant par la réfection de services hospitaliers, l’aménagement d’un musée ou la restructuration d’une médiathèque. 

Bim starter ® — depuis 2017

Thème de recherche

Proposition de sujet de recherche-action :

La maquette unique et la responsabilité de chacun.

Le BIM niveau 3, la maquette unique, le but ultime de la collaboration, lorsque tous les intervenants, tout au long du cycle de vie du bâtiment, regroupent leurs données dans un même contenu.

Nous n’y sommes pas encore et une difficulté majeure subsiste du point de vue des assureurs :

Comment retrouve-t-on l’intervenant responsable d’une défaillance de l’ouvrage Dans cette maquette unique, qui a fait quoi ?

Devra-t-on convenir que tous soient solidairement responsables ?

Quiconque ayant contribué à la maquette pourrait-il se retrouver responsable du tout ?

Où s’arrête la responsabilité des uns et des autres ?

La définition contractuelle de la mission de chacun peut-elle suffire à aller au-delà d’une présomption de responsabilité ?

Ne doit-on pas, au nom du contrat premier passé avec son assureur, préserver très exactement le contenu de ses actes ?

Comment procédait-on avant le BIM ?

Comment retrouver une nécessaire traçabilité ?

Qui sera garant de l’intégrité de cette traçabilité ?

Après avoir convenu de ce que devrait être la maquette unique et démontrer le besoin de traçabilité, je cherche à décrire et mettre au point un processus mettant en oeuvre une Blockchain, qui permettra de retrouver à coup sûr, sans contestation possible, l’auteur de la donnée défaillante susceptible d’être à l’origine du sinistre affectant l’édifice.

Cette recherche a été amorcée dans le cadre de ma thèse professionnelle soutenue le 8 décembre 2017 qui a conclu mon Mastère Spécialisé BIM de l’Ecole nationale des Ponts et Chaussées (ENPC) et de l’École Spéciale des Travaux Public (ESTP). Sa soutenance est prévue le 8 décembre 2017

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